ABSTRACT
Over the years, the concept of feminism has been a phenomenon where the woman is seen to be inferior to the man in a given society, mostly the Africa continent. This phenomenal conception of man has led to gender inequality in the society. This inequality is perpetuated either through cultural, religious and traditional beliefs. Over time, the woman has been muted over this ugly trend of inequality of man to woman. But in recent time, towards the year 1960s, the feminine muted voice has been raised through the works of literature. It is in this direction that this study will examine two francophone Africa novelists, who have shown the sufferings and the condition of the African woman in the hand of the African man. The works of these writers tends to portray both in distinct and critical terms their position in the socio-cultural aspects of Africa. The pre-occupation of feminist writers is to either defend the concept of feminism or to criticize the patriarchal system in Africa. These novels; C’est le soleil qui m’a brûlée (1987) by Calixthe Beyala and Cendres et Braises (1994) by Ken Bugul, shows clearly the oppression suffered by woman especially the francophone African woman because of a patriarchal dominated society. We shall be examining the struggle by the feminist towards total liberation from such societal malaise.
CHAPTER ONE
APERÇU GÉNÉRAL
Dans ce mémoire, avons allons étudier le concept du féminisme dans, C’est le soleil qui m’a brulée (1986) de et Cendres et Braises (1994) de Ken Bugul. Le concept du féminisme dans les deux romans est basé sur l’oppression de la femme par l’homme dans une société donnée, comme la société africaine dans ce cas de notre discours. Le concept du féminisme est lié au sujet d’oppression et ce thème est central dans les deux textes que nous étudierons. L’idée d’oppression est essentielle parce que dans les deux textes, les deux écrivains exposent le problème d’oppression que la femme subite à la main de l’homme dans une société africaine.
Au commencement du monde, le créateur dit à l’homme et à la femme de multiplier et remplir la terre et le bon Dieu donna la bénédiction à l’homme et la femme dans la Bible 1:28 :
Soyez féconde multiplies remplissez la terre et l’assujettissez et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout animal qui serment sur la terre
L’homme et la femme doivent travailler ensemble en paix et en harmonie pour réaliser le but ayant le même droit aux autres choses de la terre.
Dieu ne commande pas à l’homme d’opprimer pour dominer la femme. Ils doivent travailler ensemble pour réaliser le but ayant le même droit aux autres choses dans la terre. La paix et l’harmonie est essentielle pour accomplir le développement et le progrès dans une société donnée.
Le but de notre recherche est d’étudier le concept du féminisme, l’idée générale du féminisme dans les deux textes que nous étudions, C’est le soleil qui m’a brulée de Calixthe Beyala et Cendres et Braises de Ken Bugul. Le féminisme est une doctrine favorable à l’égalité naturelle des deux sexes ; mâle et femelle. Chez Aduke : (1996) le féminisme est un mouvement d’un concept littéraire qui tend à permettre à la femme d’exercer ses activités sociales, économiques et politiques dans les mêmes conditions que l’homme. Ces tendances féministes se sont manifestées à toutes les sociétés du monde. Le féminisme, une prise de position sur la question de la femme, ne cesse pas de lutter les normes de la société qui oppressent les femmes. Il a un sens politique. Il expose les maux liés à la forme sociale. Ensuite, il émet les revendications à la force politique dans le but d’améliorer la situation des femmes.
En 1970, l’Organisation Nationale des Femmes en Amérique comme le plus souvent d’autres mouvements féministes a fait appel aux philosophes, linguistes de lettres et individus qui ont la vision féministes de continuer à écrire, à faire la recherche, à formuler des idéologies et des théories de féminisme.
Selon Ogini, E. E. dans son article Féminisme comme un concept littéraire (1996 : 3), il y a deux approches sur la théorie littéraire de féminisme ; nous avons l’approche anglo-américaine et l’approche française. Leurs buts principaux sont de lutter pour sortir la femme de la misère, améliorer l’image de la femme dans la société et produire des matériaux d’études pour le système scolaire dans le domaine littéraire. L’approche féministe française en France dès 1848 se dessine au mouvement féministe réclamant l’abolition de l’impuissance maritale et de l’incapacité dont le code civil frappait la femme.
Le féminisme n’aime pas la condition de la femme réduite trop souvent à l’activité de ménagère où quand la femme fait la cuisine, elle attend son mari et ses enfants. Cette attente monotone est dégoûtante. Une des défenseurs est Simone de Beauvoir. Elle est philosophe existentialiste et féministe française et elle est bien connue comme une féministe théoricienne en France. Elle a publié son livre Le Deuxième sexe, deux volumes en 1949. Le première partie : Les faits et Mythes (1947) montre sur le plan biologique, que la femme n’est pas inférieure à l’homme mais que tout au long de l’histoire dans la plupart des sociétés, elle lui a été asservie. Elle explique le fait qu’on ne naît pas femme, on la devient. La deuxième partie ; L’expérience vécue (1949) décrite le dessin féminine tel qu’il se déroule de la naissance à la mort. Elle indique qu’il fait que la femme conquière son indépendance matérielle et qu’elle a une profession. Selon Simone de Beauvoir, c’est le travail, le métier seul qui peut lui garantit une liberté concrète.
Dans cette recherche nous avons remarqué les facteurs qui induisent les hommes à des erreurs en sont multiples. Grosso modo, abordons les facteurs religieux, culturels et sociaux. Les religions contemporaines prêchent une soumission totale de la femme à son mari. La Bible ordonne à la femme d’obéir à son mari. Cela se témoigne à travers les versets bibliques suivants :
Femmes, soyez soumisses à vos maris comme au seigneur ; car le mari est le chef de la femme comme Christ est le chef de l’église, qui est son corps et dont il est le sauveur. Or de même que l’Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l’être à leurs maris en toutes choses. (Ephésiens 5 versets 22 à 24)
La soumission de la femme à l’homme est ordonnée à un prix couteux que l’homme décide d’ignorer par mégarde, par orgueil ou par prétention. Car justement le prix de cette soumission pour l’homme se concrétise à travers les versets qui suivent c’est-à-dire de 25 à 32. Dans le Coran, les hommes pourraient exploiter le verset 34 de la sourate 4 afin d’établir une quelconque domination sur la femme.
Aux hommes est reconnu un droit de regard sur les femmes, ce droit est fondé sur les avantages que Dieu a conféré aux hommes et il fait pendant aux charges de famille qui leur sont imposée […]
La culture africaine accorde aussi le droit de correction aux hommes. La femme africaine est soumise à son mari car elle est jugée de faible créature d’où l’idée d’infériorité vis-à-vis de l’homme. Elle n’est pas apprise à se débrouiller toute seule sans son mari. Quand elle veut faire quelque chose elle doit nécessairement consulter son mari. Dans le cas échant, elle sera battue comme un animal. Cette situation est due à la dépendance de celle-ci envers l’homme.
Le manque d’éducation des femmes en Afrique est aussi une des causes de subjugation de la femme. Plus de cinquante pourcent de femme ne savent ni lire ni écrire. L’écart entre la scolarisation des garçons et des jeunes filles est très grand. Cet écart est beaucoup plus prononcé dans les milieux ruraux.
L’attitude de plusieurs gouvernements des pays africains laisse à désirer. Les jeunes filles sont moins inscrites dans les écoles. D’une part, c’est la faute des parents qui pensent que l’éducation de la fille risque de la conduire dans la débauche. Elle risque d’être moins respectueuse envers eux et envers son futur mari. D’autre part, c’est la faute des autorités de l’État qui à travers le ministère de l’éducation, manque de mettre un plan de scolarisation qui favorise l’instruction massive de jeunes filles. La mise à l’écart des femmes dans les décisions prises est une erreur fondamentale.
En 1973 Katie Breen a publié Femme pratique. Pour elle, la femme n’est pas l’image inverse et complémentaire de l’homme. Elle est capable comme l’homme. Dans le domaine littéraire, l’idéologie se manifeste. La plupart des romanciers africains présentent l’image négative de la femme dans leurs romans. Des écrivains d’origine africaine sont influencés par l’ordre socio-culturel de la société patriarcale, c’est-à-dire une société où la forme de la famille est fondée sur la parenté par les mâles et sur la puissance paternelle où le père a un pouvoir illimité. C’est une société où la femme est considérée comme un personnage subordonné ou secondaire.
Ferdinand Oyono par exemple inonde son roman Une vie de Boy (1956) des images négatives des femmes. La femme blanche du commander entretien des relations adultères avec Monsieur Moreau. Il se peut qu’il y ait un élément de racisme dans la présentation de Madame le commandant, mais celle de Sophie n’est pas bonne non plus. L’ami du commandant aime Sophie mais en cachette et il insulte Sophie presque partout.
On remarque presque la même chose dans la littérature française. Dans Notre Dame de Paris (1831) de Victor Hugo, c’est la même chose. Il était le guide et porte-parole de son peuple. Il présente Esméralde la jeune bohémienne comme objet de divertissement. Elle danse pour le peuple avec sa chèvre, Djali, sur la place de grève au début pour attirer l’attention des lecteurs ou des spectateurs. C’est le premier film en couleur en française. C’est vrai que Victor Hugo cherche à traduire le pittoresque et le lyrisme du Moyen Âge sous le règne de Louis XI et qu’il est en train de montrer une peinture de Paris au 15e siècle, mais il a bien limité la dignité de personnage féminine, selon sa pensée de l’image de la femme dans la société. Dans la liste de formation de personnage où on parle des personnages qui se rattacheraient à de grands types on n’a pas mentionné Esmeralde. C’est Quasimodo, le bossue, la difforme, le sonneur de cloches à Notre Dame de Paris qu’on a mentionné. Dans le roman, il n’y a pas de personnage féminin parmi les grands types. Grand type veut dire personnage principal ou important. On imagine que Victor Hugo n’avait pas pensé à la formation d’un personnage féminin qui serait considéré comme grand type dès le commencement. En conséquence, on voit que Victor Hugo avait une idée ou un concept négatif de l’image de la femme dans la société. On considère la femme comme inférieure qu’elle soit africaine ou européenne, lettrée ou illettrée.
L’approche anglo-américaine fixe son regard vers la force politique. Dès 1970, les femmes ont commencée à former des mouvements de libération en Amérique. L’Organisation Nationale des Femmes est fondée en 1970 par Betty Friedan, l’auteur de Féminin mystique (1963). Cette organisation est une des organisations qui lutte en faveur des femmes. En ce qui concerne le féminisme, la démarcation n’a pas importance. Il s’agit simplement de la mode de vie sociale qui existe dans chaque approche par rapport à la femme. Elaine Showalter est une des critiques féministes bien connues en Amérique. Elle a publié en 1979 Towards A Feminist Poetics et en 1981 Feminist Criticism in the Wilderness pour montrer des expériences subites par les femmes dans la société. Le premier ouvrage traite de la femme la lectrice et la deuxième traite de la femme écrivaine. Elle nomme la deuxième forme gyno-critique. Cela veut dire l’étude des études des écritures produites par des écrivaines. Les expériences subites par les femmes. Il est à noter que le texte féminin dans les deux approches est violent dans la manière de la présentation. Cela a expliqué les mots de Jésus Christ dans la Sainte Bible en Matthieu chapitre 11 verset 12 : “Depuis le temps de Jean-Baptiste jusqu’à présent, le royaume des cieux est forcé et ce sont les violents qui s’en emparent.” Pour que la paix règne au monde, la présentation doit être violente contre l’oppression de la femme dans la société. C’est à travers la violence que l’auteur féminine montre son désir furieux pour échapper. Parmi autres choses dans les textes des mâles sont la discrimination de sexes dans la société. La tâche principale de la critique féministe est donc d’exposer l’oppression. C’est comme Julia Kristeva, une critique, montre, lorsqu’elle dit que la femme est au périphérique de la vie sociale et de presque toutes les choses. C’est une position dangereuse pour la femme au milieu de la vie sociale, au milieu des activités et elle veut un futur immédiat. Dans son essai “L’ethnique de linguistique” elle attaque les grands grammairiens de nos jours avec leur systèmes politique de langue. Elle est contre la façon dont on emploie des mots, la signification et elle se demande également pourquoi les hommes font trop d’interruption pendant des conversations entre les sexes. Selon Julia, l’interruption est une manifestation de pouvoir de l’homme qui signifie une oppression de l’action verbale de la femme.
Kristeva trouve que le concept de la langue n’est juste. Il y a des tricheries et on remarque trop de non-dire dans la dénotation qui a pour but de déplacer la femme en arrière. Elle expose que la femme est politiquement un moyen de terreur qui a créé une opposition entre les deux sexes. Elle souligne que l’anthropologie est un domaine de connaissance de nature oppressive. Ce domaine présume que la femme est dans un groupe subordonné. Cette idée gène l’intégrité de la femme dans le monde entier. Tout ce que la femme fait, sa contribution est valorisé d’une façon banale et Kristeva propos une théorie hétérogène. Elle veut qu’on change le système linguistique. Cette idée est partagé par un linguiste russe Volosinou dans son livre intitulé Marxisme et philosophe de langue qui en 1929 fait appel au changement linguistique. Il attaque les structuralistes de L’injustice dans la composition.
La critique féministe a de nombreuses variantes. La nature patriarcale de la société occidentale a donné lieu à la marginalisation des femmes. La culture occidentale a fonctionné sur l’hypothèse que les femmes sont créatures inférieures. Grands penseurs d’Aristote à Charles Darwin croyait aussi que les femmes sont des êtres inférieurs (Ann Dobie 2009). Bien que féministe mouvement a commencé au XIXe siècle, la théorie féministe a commencé à prendre de l’importance dans le discours littéraire dans les années 1960. Les femmes écrivaines telles que Virginia Woolf, Wollstonecraft, Elain Showalter, Charlotte Bronte, Mary Ann Evans Susan B. Anthony, Elizabeth Cady Santon, Simon de Beauvoir et Chantal Zabus sont certains noms reconnus de l’Ouest dès la création des femmes lutte contre la domination patriarcale.
En Afrique, particulièrement, en Afrique de l’Ouest, il y a des écrivains féministes et critiques, les mâles et les femelles comme Sembène Ousmane, Calixthe Beyala, Ken Bugul, Flora Nwakpa, Buchi Emecheta, Omolora Ogundipe Leslie, Mary Kolawole, Aduke Adebayo, Chioma Opara er une foule d’autres.
Chinua Achebe, n’est pas féministe, il a toujours été à l’avant-garde de la lutte des femmes. Certaines de ses œuvres témoignent de son penchant pour l’émancipation de la femme en Afrique (Afejuku & Amp ; Ayelenu Eruga 2009 et 2001).
La théorie féministe et de généralisations ont développé aujourd’hui dans un robuste et vaste espace de recherche et d’un intérêt académique. On peut parler de féminisme marxiste, le féministe postmoderniste (qui est considérée comme le féminisme radical) parce que les sociétés du monde ne sont pas culturellement homogènes, le discours féministe et de généralisation sont également devenue variée et relative. Les critiques ont donc évalué les variantes du féminisme qui sont conformés à leurs sociétés, une sorte de “homegrown” féminisme, comme gynocriticisme (Elaine Showalter), Motherism (Catherine Acholonu) et STIWANISM (Omolara Ogundipe-Leslie).
Il est intéressant de signaler que ces variantes de féminisme continuent de contester l’un l’autre. Par exemple. Catherine Acholonu (2003) cité par Ojo Olorunleke (2004 : 250-259), tout un cas pour sa théorie proposée, Motherism, soutient que sa théorie permettra de mieux prendre soin de la culture africaine. Elle soutient en outre que Motherism est une théorie qui encourage l’égalité entre les sexes complémentarité :
Ma théorie de motherism, qui est fondée sur la cosmologie africaine traditionnelle, voit l’inégalité entre les sexes en tant qu’arme de diviser et de l’articile introduit en Afrique pour la politique et la religion des colonisateurs de l’Europe et l’Arabie, à affaiblir et déstabiliser l’Africain social et environnement domestique pour les femmes l’épine dorsale de traditionnelles les sociétés traditionnelles africaines.
Cette croyance profite largement d’une perspective théorique éclectique. Nous allons appliquer des principes du postmodernisme et le discours post colonialisme du féminisme comme conçu par des critiques et des écrivains comme Jane Bryce, Isaïe Baton Koulibaly et Lola Choneyin.
Chez Calixthe Beyala, C’est le soleil qui m’a brûlée et Ken Bugul Cendre et Braises, nous avons découvert que dans les deux histoires, les deux auteurs nous montrent l’oppression, l’inégalité, la souffrance, la discrimination etc. que la femme a subite à la main de l’homme. Les deux romans que nous étudierons sont des œuvres littéraires qui ont bien démontré les conditions des femmes dans une société dominée par les hommes.
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